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Substances nootropiques | Attitudes et enjeux sur la santé | MD Analytics

Les substances nootropiques sont utilisées pour renforcir les fonctions neuro-cognitives. Les chiffres exacts d’utilisation sont difficiles à déterminer, mais une étude récente menée auprès d’étudiants de l’UBC (University of British Columbia) a révélé qu’un étudiant sur 30 admet utiliser des médicaments contre le TDAH qui n’ont pas été prescrits pour ses effets cognitifs.

L’utilisation de substances nootropiques semble prendre de l’ampleur au Canada, en particulier chez les étudiants et les jeunes professionnels en situation de haute pression, ayant ainsi le potentiel de devenir un problème de santé.

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La consommation de substances nootropiques est élevée, en particulier parmi les étudiants. Une étude menée en 2013 auprès d’étudiants de l’UBC (University of British Columbia) a révélé qu’un 1 étudiant sur 3 admet avoir obtenu des médicaments contre le TDAH qui ne lui ont pas été prescrits, dans le but de l’aider à étudier et à terminer ses cours.

Les stimulants pour traiter le TDAH sont les nootropiques les plus couramment utilisés, en particulier chez les étudiants, car ils peuvent être obtenus auprès d’amis avec des ordonnances, ou éventuellement en simulant des symptômes pour obtenir une fausse prescription.

Lors de leur introduction au concept de substances nootropiques, 85 % des médecins généralistes croyaient que le matériel utilisé en marketing pour promouvoir les substances nootropiques transmettent de fausses informations sur les avantages de ces produits; 81 % estiment qu’il s’agit d’un problème de santé publique important; 69 % sont préoccupés par la sécurité en ce qui concerne l’utilisation à long terme de substances nootropiques. Consultez notre infographie pour un aperçu plus détaillé des résultats de cette étude.

Données du sondage antérieures

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