Nous avons interrogé des médecins canadiens et américains afin de savoir quels congrès médicaux offrent la plus grande valeur et lesquels ne répondent pas aux attentes. Il nous a été intéressant de constater qu’une forte participation n’équivaut pas toujours en valeur perçue, à quelques exceptions près en cardiologie et en oncologie.
L’infographie que voici illustre quels congrès se classent parmi les plus populaires et ceux auxquels les principales spécialités accordent le plus de valeur.
In this study, we explore the perceptions of US and Canadian physicians on conference attendance and CHE/CME events. The results highlight that while virtual events have become common, in-person conferences continue to provide significantly more value. Physicians prioritize interactive elements such as Q&A sessions, panel discussions, and case-based workshops, which enhance engagement and learning. The study also reveals the key factors that influence physicians’ attendance, satisfaction, and what they expect from pharmaceutical companies to create a valuable conference experience. Discover more in our detailed infographic.
Les médecins consacrent en moyenne deux heures par jour à la consultation de sites Web et de médias sociaux à des fins professionnelles. Le recours croissant aux médias numériques transforme la façon dont les médecins reçoivent les renseignements importants sur les produits.
La présente infographie met en lumière les renseignements que dévoile notre plus récente étude en explorant quels réseaux sociaux les médecins préfèrent utiliser dans le cadre de leurs activités, leur perception quant à leur convenance et les plateformes sur lesquelles ils acceptent d’interagir avec les entreprises pharmaceutiques.
Dans le paysage à évolution rapide des soins de santé, la place qu’occupent les outils et les médias numériques dans les activités quotidiennes des professionnels de la santé est en pleine croissance. Les médecins acceptent maintenant moins de la moitié des demandes de rencontre qu’ils reçoivent des représentants pharmaceutiques. Et comme le nombre des interactions en personne décline, la nécessité d’offrir des canaux d’information numériques efficaces ne fait pas de doute.
Notre dernière infographie souligne quelles entreprises les praticiens considèrent comme étant des leaders de l’espace numérique et quels facteurs influencent leurs perceptions.
Dès les premiers jours de la pandémie, la COVID-19 a eu un impact significatif sur la manière dont les médecins interagissent avec les entreprises pharmaceutiques. Les restrictions gouvernementales ont obligé les entreprises à s’adapter rapidement et à passer à des formes d’interactions plus distantes. Les choses ont évolué au cours des dernières années, mais sommes-nous maintenant revenus à des interactions principalement en personne ? MD Analytics a suivi ces tendances au cours des dernières années et nous avons récemment interrogé 50 médecins généralistes et 90 spécialistes canadiens dans le cadre de notre dernière enquête sur le sujet.
Bien que la campagne de vaccination ait progressé au Canada, la pandémie de COVID-19 continue d’avoir un impact significatif sur la façon dont les professionnels de la santé communiquent avec les patients et l’industrie pharmaceutique. MD Analytics a suivi ces tendances au cours de la dernière année et nous sommes heureux de partager avec vous notre infographie de la 4 e vague sur ce sujet.
Pour la première fois depuis le début de cette étude de suivi, le nombre de patients est revenu aux conditions prépandémiques, tout comme les mesures clés telles que les tests de diagnostic effectués et les changements de traitement. Il est important de noter que si la plupart des médecins estiment que leur charge de travail est maintenant comparable aux conditions pré-COVID, beaucoup s’attendent à dépasser leurs niveaux actuels dans les mois à venir.
Notre sondage en ligne de 5 minutes réalisé à l’automne 2020 visait à clarifier la promotion à distance. Cette étude a été menée auprès de 339 médecins canadiens, membres du panel de soins de santé, de MD Analytics et les résultats nous ont permis de formuler des recommandations sur les mesures à prendre pour obtenir des visites de promotion pharmaceutiques à distance mieux adaptées.
En octobre 2018, le cannabis à usage récréatif a été légalisé à travers le Canada. Depuis la dernière année, les médecins demeurent divisés et les jeunes médecins sont plus favorables envers cette nouvelle législation. Cette législation a eu un impact sur les prescriptions de traitements sur ordonnance ainsi que sur les visites de patients dans plusieurs domaines thérapeutiques, mais pas au niveau anticipé il y a 12 mois. Veuillez vous référer à l’infographie ci-dessous pour un aperçu du point de vue des médecins canadiens sur la légalisation du cannabis à des fins récréatives.
Sur une période de 3 jours, MD Analytics a sondé 1 000 Canadiens responsables de prendre des décisions liées à la santé. L’étude démontre que les répondants choisissent souvent de ne pas consulter un médecin pour un problème de santé quelconque et mentionnent l’auto-diagnostic et le manque d’accessibilité comme raisons principales. Il est également plus probable que les répondants décident de se rendre dans une clinique sans rendez-vous plutôt que chez leur médecin de famille. Leur motivation principale demeure l’accessibilité.
Le Sénat du Canada a récemment adopté le projet de loi C-46 qui légalisera l’usage récréatif de cannabis à travers le Canada d’ici l’automne 2018. Avec la mise en place de cette nouvelle législation, certains médecins anticipent des répercussions sur leurs pratiques avec des patients choisissant le cannabis à usage récréatif plutôt que des médicaments sur ordonnance plus traditionnels ou du cannabis médical. D’autres médecins anticipent une augmentation du nombre de visites de patients liées à la dépendance et des symptômes psychotiques.
Avec l’émergence de la médecine complémentaire et alternative (MAC), les options de prescription seules ne sont plus la norme en ce qui concerne le traitement d’un certain nombre de conditions médicales. La recherche menée auprès de n = 170 médecins généralistes canadiens montre que les thérapies MAC ne sont pas seulement une pratique courante pour beaucoup déjà, mais qu’elles devraient être encore plus largement acceptées comme options de traitement viables au sein de la communauté médicale conventionnelle.
Les appareils modernes pour mesurer la glycémie peuvent souvent être utilisés conjointement avec une application pour téléphone intelligent, permettant aux patients d’enregistrer et de surveiller facilement leurs niveaux de glycémie. Cela donne au patient et potentiellement au médecin, accès à des données historiques, des graphiques et autres informations qui peuvent aider à la gestion du diabète. Recherche menée par MD Analytics pour évaluer si les médecins généralistes canadiens sont en faveur envers cette technologie et si elle joue un rôle dans leur recommandation d’un glucomètre plutôt qu’un autre.